Ils provoquent une apoptose.
Les IncRNA assurent des mécanismes de rétention et d'interaction dans le noyau et le cytoplasme, influençant ainsi la régulation de la transcription.
C'est un ADN circulaire double brin de 16,6 kb qui possède essentiellement des séquences codantes.
Un pseudogène peut apparaître via insertion d'ADN complémentaire issu de la rétro-transcription d'ARN messager, via duplication suivie d'inactivation, via inactivation d'un gène ancestral, ou être fonctionnel chez certains individus.
L'héritage des maladies est presqu'exclusivement maternel par l'ovocyte.
Elle dépend du type de cellule, du statut de différenciation et de l'état métabolique.
10 à 20% du génome.
Ils apportent les acides aminés aux ribosomes.
Ils font partie des complexes ribonucléoprotéiques impliqués dans l'épissage des ARN pré-messagers.
Ils peuvent causer une mutagénèse par insertion, des cassures de l'ADN et des recombinaisons.
Les gènes de ménage (Housekeeping) qui sont exprimés par toutes les cellules de manière continue.
Les facteurs de transcription comportent un domaine de liaison à l'ADN (hélice-tour-hélice, zinc finger, tirette leucine et hélice-boucle-hélice) et un domaine d'activation de la transcription.
On utilise des siRNA pour le traitement de l'amyloïdose à Transthyrétine (TTR).
Une transition est le remplacement d'une pyrimidine par une autre pyrimidine ou d'une purine par une autre purine, tandis qu'une transversion est le remplacement d'une pyrimidine par une purine et vice versa.
Ils contribuent à l'évolution, par exemple, NOTCH2NL est exprimé 4 fois chez les humains, ce qui donne plus de signaux pour plus de cellules souches et un plus grand potentiel d'expansion du cerveau.
Les familles multigéniques constituent la moitié de l'ADN codant, issues de duplications de gènes et de divergence évolutive subséquente, formées de gènes groupés en clusters ou dispersés.
La majorité des L1 sont fossilisées et rendues inactives.
Ils jouent un rôle dans la régulation post-transcriptionnelle et sont impliqués dans de nombreuses pathologies, notamment le cancer.
Transcription, coiffe 5', queue Poly-A, épissage, traduction.
Une mutation nonsense modifie le codon et introduit un codon STOP, souvent rendant la protéine tronquée inactive.
Ils peuvent toucher les promoteurs, enhancers, régions régulatrices et les sites de liaison des miRNA et siRNA.
Ce sont des boules de chromatine qui permettent que deux séquences éloignées soient proches et interagissent.
A + T (ou U) et G + C.
Elle provoque le gain d'un ou plusieurs acides aminés.
C'est une maladie où, au-delà d'un certain nombre de répétitions, la séquence est instable et le nombre peut augmenter d'une génération à l'autre.
La maladie de Hirschsprung.
1 à 9 paires de bases.
Parce que la télomérase peut déraper au cours des réplications.
Interaction avec des RNA binding proteins (RBP), association aux ribosomes, entrée dans les mitochondries, export via divers organelles comme les exosomes.
Ce sont des gènes transcrits en ARN mais non traduits en protéines.
Des mutations dans l'ADN mitochondrial peuvent causer des maladies.
Ils ont une activité régulatrice en cis et trans au niveau transcriptionnel et post-transcriptionnel, avec des exemples comme l'inactivation du X, l'empreinte parentale et diverses pathologies.
Une régulation en cis est régulée par le même brin alors qu'une régulation en trans est régulée par d'autres éléments de la cellule.
Les variants favorables sont des drivers de l'évolution.
Le Patisiran est un siRNA double-brin en nanoparticules lipidiques ciblant le foie, comprenant des ribonucléotides modifiés et ciblant la région 3'UTR de l'ARNm de la TTR mutante (héréditaire) et sauvage (sénile).
Les bases purines (Adénine et Guanine) et les bases pyrimidines (Thymine, Uracile et Cytosine).
Dans des protéines qui forment des dimères ou polymères.
Le brin avancé et le brin retardé (avec des fragments d'Okazaki liés par l'ADN ligase).
La distribution des gènes est très inégale entre chromosomes et régions.
Le gène de la Tintin code pour une protéine cardiaque énorme et on retrouve certaines de ses parties dans de nombreuses séquences, où l'on découvre fréquemment des variants.
Une mutation d’un gène donné associée à une forme plus sévère chez tous les patients.
Une mutation apparaissant dans les gamètes, touchant le fœtus mais pas les parents.
Parce qu'ils sont plus aptes à être sélectionnés au début de la fécondation.
Les gènes codants sont composés de promoteurs (avec TATA box et CAT box), d'exons et d'introns, et de sites d'initiation et de terminaison.
Ils constituent le principal composant des ribosomes.
Un pseudogène survient par duplication et est activé par mutation. Il a une structure identique aux gènes mais n'a pas d'expression fonctionnelle.
Ils font partie des small nucleolar ribonucléoprotéines qui modifient post-transcriptionnellement les rRNA, tRNA et snRNA.
Ils régulent les gènes codants pour des protéines en bloquant la transcription d'un ARN, ce qui peut permettre à une cellule de revenir à son état normal après une mutation.
Une mutation missense modifie le codon et conduit à un changement d'un acide aminé.
Un variant est une mutation, c'est-à-dire un changement du matériel génétique.
Les deux formes de TTR sont héréditaire (mutation qui rend la protéine transthyrétine moins soluble et toxique) et sénile.
Parce que les dinucléotides CpG sont fréquemment méthylés et la déamination spontanée d'une C méthylée la convertit en T.
La présence d’une mutation à l’état hétérozygote qui altère la fonction de la protéine normale codée par l’autre allèle.
Une insertion est le gain d'un ou plusieurs nucléotides.
Les insertions de grande taille peuvent provenir de crossing-over asymétrique ou d'insertions d'éléments transposables.
La maladie de Huntington.
Courtes séries de répétitions d'une séquence commune de 10 à 100 paires de bases.
La maladie de Huntington.
Environ 50%.
Accrochage à la chromatine, dégradation sur la chromatine, épissage inefficace, signaux de rétention nucléaire.
Des rétrovirus endogènes qui représentent 10% du génome et utilisent les LTR pour se déplacer.
Il existe deux types de familles multigéniques : les familles classiques (haute homologie de séquence) et les superfamilles (homologie de fonction via des domaines structuraux partagés).
10% du génome.
Le code génétique de l'ADN mitochondrial diffère de celui de l'ADN nucléaire.
Les familles classiques incluent l'ARN de transfert et l'ARN ribosomique. Les superfamilles incluent HLA, TCR, et Ig.
Les variants synonymes donnent des acides aminés identiques, tandis que les variants non-synonymes existent sous trois formes : missense, nonsense et changement de phase de lecture.
Le siRNA est un ARN double-brin court de 21 à 23 nucléotides qui se lie à un ARNm de manière spécifique à la séquence et entraîne sa destruction.
Ils peuvent toucher les sites donneurs (GT) et accepteurs (AG), provoquant une perte d'exonération ou une rétention d'introns, activer les sites d'épissages cryptiques, ou muter des séquences stimulatrices d'épissage.
L'ADN est l'Acide Désoxyribonucléique, une double hélice formée de brins d'ADN antiparallèles.
Elle provoque la perte d'un ou plusieurs acides aminés.
Le brin néosynthétisé se forme de 5’ vers 3’ grâce à l'ADN polymérase.
Environ 21.000 gènes.
Les régions centromériques sont pauvres en gènes, tandis que les régions subtélomériques sont riches en gènes.
Le carcinome médullaire de la thyroïde familial et la néoplasie endocrinienne multiple.
Lors de la division cellulaire par des erreurs de crossing-over, des erreurs de répartition des chromosomes ou des erreurs lors de la réplication de l’ADN.
Le nombre de microsatellites.
C'est un phénomène de vieillissement des spermatozoïdes où ceux contenant des mutations sont privilégiés par rapport aux spermatozoïdes sains car ils sont plus aptes à être sélectionnés au début de la fécondation.
Ils mesurent 6000 à 8000 paires de base et encodent une protéine liant l'ARN, une endonucléase et une transcriptase reverse.
La voie de Phosphorylation Oxydative.
Elles peuvent créer des variants pathogènes lors de leur insertion et jouer un rôle évolutif favorable.
Ils peuvent créer des exons permettant l'épissage alternatif, des STOP prématurés, liaisons de facteurs de transcription, nouvelles séquences régulatrices et initiation de méthylation.
Un promoteur de gène est constitué d'une TATA box pour l'initiation de la transcription à l'état basal et d'éléments régulateurs, les enhancers et les silencers.
Les variants dans les régions non codantes peuvent affecter le niveau d'expression ou l'épissage.
Une substitution est le remplacement d'un nucléotide par un autre.
Un nucléotide est composé d'une base azotée, d'un sucre et d'un phosphate.
Une bulle de réplication se forme autour de l'origine de réplication OriC et se propage.
L'ostéogénèse imparfaite liée à des variants des gènes COL1a1/COL1a2 avec effet dominant négatif.
Par la translocation plaçant un gène sous la dépendance d’un nouveau promoteur ou par des mutations GOF rendant une protéine constitutivement active.
Il accélère la réparation des fractures.
Les caractéristiques et la gravité d’une maladie génétique donnée varient selon les mutations et les patients.
Les radiations ionisantes et les mutagènes chimiques.
3%
Un génome à ADN qui se transforme en ARN puis est rétro-transcrit en ADN dans la cellule hôte.
Des ARNr et des ARNt.
Les pseudogènes ont un rôle fonctionnel important sous-estimé : s'ils sont activés, ils peuvent coller deux endroits éloignés et avoir un impact sur la réplication des gènes voisins.
L'hétéroplasmie est la présence de mitochondries saines et atteintes, ce qui peut rendre les maladies extrêmement polymorphes.
Une substitution conservative change l'acide aminé par un autre de structure chimique proche sans effet fonctionnel, tandis qu'une substitution non conservative change l'acide aminé par un autre de structure chimique distincte, modifiant la structure, les propriétés physico-chimiques, l'activité biologique et/ou la stabilité de la protéine.
Le miRNA est un ARN double-brin de 19 à 25 nucléotides qui peut se lier à de multiples ARNm souvent au niveau de la région 3'UTR et entraîner une répression de la traduction, la dégradation ou rarement la destruction de l'ARNm.
La perte de fonction peut être nulle (perte de fonctions ou d'expression), hypomorphe (modification de fonction au niveau d'expression), ou haploinsuffisance (perte de fonction dans un allèle sans compensation par l'allèle normal).
Les îlots CpG sont souvent localisés dans les promoteurs et leur transcription est régulée par la méthylation.
Les larges délétions provoquent une perte de parties de gènes, de gènes entiers ou de plusieurs gènes.
Sous forme de séquences d'ADN répétées en tandem.
10 à 15%
10 à 15 kb.
Le développement du premier « DNA fingerprinting ».
Pour cartographier les mutations en génétique directe.
Déplacement via un intermédiaire ARN qui est rétro-transcrit puis se réinsère dans le génome.
Un changement de phase de lecture modifie complètement la séquence protéique en aval de la mutation, souvent introduisant un STOP prématuré.
Les variants défavorables sont pathogènes.
La substitution de C en T est la plus fréquente.
La réplication de l'ADN est un processus semi-conservatif où l'ADN formé est composé d'un brin parental et d'un brin néosynthétisé.
98%
ADN satellite, ADN minisatellite, ADN microsatellite.
Autour des centromères de certains chromosomes.
Les gènes uniques codent pour des polypeptides et produisent des enzymes, hormones, récepteurs, protéines régulatrices et structurelles, et donnent les ARNm classiques.
Dans les zones non codantes.
Elles jouent un rôle par répétition en trop grand nombre de triplets.
Une délétion est la perte d'un ou plusieurs nucléotides.
Une expression augmentée, une activité augmentée, une nouvelle fonction ou une modification de la régulation.
Il rend le récepteur FGFR3 constitutivement actif, inhibant la prolifération et la différenciation des chondrocytes.
Elles ajoutent les répétitions et sont nécessaires à l'intégrité des chromosomes.
La variabilité du phénotype dépend du reste du génome, de l’épigénétique et de l’environnement.
Le dérapage de polymérase.