L'exérèse chirurgicale de la tumeur.
Environ 50 % des patients.
Mise en évidence d'une sécrétion inappropriée d'insuline et de peptide C en présence d'une glycémie veineuse basse.
Elle doit être réalisée par un médecin habitué à ce diagnostic.
Les seuils de sécrétion des hormones de contre régulation s'abaissent et les symptômes neurovégétatifs s'atténuent ou sont retardés.
Hypoglycémie avec insuline dosable, peptide C et pro-insuline indosables.
Profondeur variable, survenue rapide, souvent agité, signes d'irritation pyramidale, hypothermie, patient pâle et en sueur.
L'insuline.
Pour affirmer qu'elle est unique et déterminer le traitement approprié.
Les symptômes d'hypoglycémie.
En raison de leur petite taille.
Prise cachée d'insuline ou de sulfonylurées.
À cause de certains analogues de l'insuline qui ne sont pas reconnus par le dosage utilisé.
Causes auto-immunes, tumeurs sécrétant des peptides hypoglycémiants, maladies rares du métabolisme.
Causes médicamenteuses, insuffisance hépatique ou rénale, insuffisance surrénalienne, tumeur mésenchymateuse.
Une insuffisance surrénale ou corticotrope.
Il s'agit habituellement d'une tumeur bénigne.
Il peut être difficile et souvent porté par excès.
Insulinémie inappropriée, pro-insuline plasmatique inappropriée, peptide C plasmatique inapproprié et β-hydroxybutyrate plasmatique bas.
Il bloque la sécrétion d'insuline via l'ouverture des canaux potassiques des cellules β pancréatiques.
Traitement par insuline et hypoglycémiants oraux.
Sur la constatation simultanée de signes cliniques évocateurs et d'une glycémie veineuse ≤ 0,45 g/l.
90 % font moins de 2 cm et 30 % moins de 1 cm.
Les hypoglycémies postprandiales immédiates, réactives, après chirurgie du pylore ou de restriction de l'estomac.
La constatation simultanée de signes de neuroglucopénie et d'une glycémie veineuse basse, avec correction des symptômes lors de la normalisation de la glycémie.
0,60 g/l [3,3 mmol/l].
Ils doivent être différenciés des symptômes peu spécifiques de la réaction adrénergique.
Des patients proches du milieu médical ou d'un diabétique, souvent avec des antécédents psychiatriques.
Pour évaluer la profondeur de l'hypoglycémie et intervenir rapidement.
IGF 1 et IGF 2.
Scanner en coupes fines du pancréas et écho-endoscopie.
Anxiété, tremblements, sensation de chaleur, nausées, sueurs, pâleur, tachycardie, palpitations.
À cause de l'action anticétogène de l'insuline.
Malaise survenant à jeun, signes neuroglycopéniques, signes de riposte adrénergique, réversibilité après apport de sucres rapides, absence de prise de sulfamides hypoglycémiants.
Signes compatibles avec hypoglycémie, glycémie veineuse < 0,5 g/l, résolution rapide avec glucose.
À cause du caractère non spécifique des symptômes.
Le glucagon, l'hormone de croissance (GH), les catécholamines, le cortisol, et la somatostatine.
Dans le contexte du diabète traité par insuline, sulfonylurées ou glinides.
Dans un contexte de néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (NEM1).
À jeun ou à l'effort.
Médicaments, insuffisances hépatiques, surrénales, hypophysaires, rénales, malnutrition, etc.
Le diazoxide.
Glycémie veineuse ≤ 0,45 g/l, insulinémie ≥ 3 mUI/l et peptide C ≥ 0,6 ng/ml sans prise de sulfamide ou de glinide.
L'insulinome.
Inférieure à 0,45 g/l.
Plusieurs systèmes hormonaux, maintenant la glycémie entre 0,60 et 0,90 g/l à jeun.
Troubles moteurs, hyperactivité, troubles de la coordination, tremblements, hémiparésie, diplopie, paralysie faciale, paresthésies, troubles visuels, convulsions, confusion.
Hypoglycémie avec insuline et peptide C dosables, similaire à l'insulinome.
L'insulinome.
Une épreuve de jeûne de 72 heures sous surveillance médicale.
Troubles de concentration, fatigue, troubles de l'élocution, du comportement, ou symptômes psychiatriques.
10 % des cas.
0,50 g/l [2,75 mmol/l].
Glycémie veineuse < 0,5 g/l.
Il doit impérativement rechercher les signes de neuroglucopénie.
Malaise, sueurs, pâleur et syndrome confusionnel.
Sécrétion inappropriée d'insuline, défaut de sécrétion d'hormones de contre régulation, déficit de néoglucogenèse, défaut de substrat.
Les manifestations adrénergiques.
La glycémie baisse et le cerveau utilise d'autres substrats, principalement les corps cétoniques.
30 % des patients.
Sa présence prouve que l'hypoglycémie n'est pas due à une injection inavouée d'insuline.
exérèse
diazoxide
hypoglycémiant
neuroglucopéniques
bénigne, 10
72
0,55
hypoglycémie
insulinome
concentration
hyperactivité, tremblements
hyperglycémiant
5
rigueur
auto-immunes, métabolisme
jeûne
fortes
pylore, restriction de l'estomac
β-hydroxybutyrates
50
hypoglycémie, 0,5
sulfonylurées
corps cétoniques
variable
insuline, sulfonylurées
oraux
insuline
0,45
polymédicamentés
tumeur
0,60
basse
insuline, sulfonylurées
psychiatriques
potassiques
dosable, indosables
sucres
0,45
pyramidale
insuline
tiers
jeun, effort
sulfonylurées, glinides
glycémie
basse
0,5
hépatique, surrénale, hypophysaire
métastases
insuline
organique
patient
écho-endoscopie
abaissent
90
évoqueurs
chaleur
insulinome
0,60, 0,90
0,50