Les points interincisifs supérieur et inférieur doivent être alignés sur la ligne médiane au centre du visage.
La limite entre la zone sèche et humide de la lèvre inférieure doit effleurer les bords incisifs supérieurs.
À chauffer et ramollir la cire afin de la modeler.
En demandant au patient de prononcer le son « Ah ».
La limite antérieure du postdam est en forme de 2 arcs de cercle côte-à-côte.
Après l’essai des dents antérieures ou postérieures.
On creuse une gorge en avant de la limite postérieure avec une fraise boule d’un diamètre de 2 mm.
Pour féminiser le montage, les angles des dents peuvent être davantage arrondis par meulage et les incisives latérales (angle mésial) vont recouvrir/chevaucher les incisives centrales.
Le patient doit prononcer les phonèmes « EF », « VE » et « FE ».
Parce que cela réduit la place disponible pour la langue.
Le lock rond.
Elle se termine sur le palais osseux et aura une mauvaise rétention sur une surface dure.
On palpe avec les doigts, le gros fouloir rond ou la sonde pour évaluer la dépressibilité tissulaire entre les deux limites du postdam.
Lors de l’empreinte secondaire, le PEI peut ne pas être réinséré de manière optimale, et la réaction de prise de la base chémo-polymérisante est associée à un retrait de polymérisation, créant des hiatus entre le modèle et la base.
Utiliser un maquillage.
Il faut remodeler les embrasures occlusales.
On pique dans la cire chauffée pour lui donner un aspect rugueux (« peau d’orange »).
On palpe avec les doigts pour repérer la limite postérieure du palais osseux, à 1/2 mm en avant des fovea palatinae.
On palpe avec les doigts pour repérer la ligne du « Ah », à 1/2 mm en arrière des fovea palatinae.
Obtenir un joint périphérique étanche au niveau de la jonction vélo-palatine pour maximiser l’herméticité de la prothèse et empêcher le passage d’eau et d’air entre la muqueuse et la prothèse.
On applique un séparateur plâtre-cire sur la zone corrigée du modèle pour éviter que la cire de la base ne colle au modèle en plâtre.
Il faut meuler/abraser le bord libre de certaines dents.
Si le pointeau a un trajet discontinu sur la table incisive (se soulève), il y a une interférence.
Profil normal, lèvre supérieure légèrement concave, aplomb de la lèvre supérieure au niveau du point sous-nasal, lèvre inférieure légèrement en retrait par rapport à la supérieure, sillon mentonnier légèrement marqué.
Cela signifie que le postdam est stable.
Elle est plus large (5-10 mm) et moins profonde (1 mm).
Il est possible de faire un montage rapide des 1ères prémolaires supérieures pour avoir un sourire plus 'rempli'.
Il faut retoucher les faces palatines pour amincir le bord et retrouver le tranchant des dents.
Torche, brosse à dents, lock rond, neos.
Certains voiles du palais prennent une position plus horizontale lorsque la prothèse amovible est placée en bouche, ce qui entraîne une perte d’étanchéité.
La canine du bas.
On demande au patient de prononcer le son « Ah » puis de s’arrêter; la limite entre la partie mobile et immobile est la ligne vibratoire.
L'espace d'inocclusion phonétique doit être de 1 mm au niveau prémolaire.
Vérifier le déterminant antérieur avant de commencer le montage des dents postérieures.
Parce que cela peut modifier l'aspect des canines.
Le visage doit être harmonieux.
Cela signifie qu'il n'y a pas d'interférences.
Il est préférable de le faire trop profond plutôt que pas assez.
En simulant les abrasions en meulant le collet des faces vestibulaires des dents.
L'essai esthétique consiste à évaluer l'harmonie globale entre le visage, les dents choisies (taille, forme, teinte) et leur position.
Pour masculiniser le montage, les dents sont abrasées par meulage et les incisives centrales (angle distal) vont recouvrir/chevaucher les incisives latérales.
Il est possible que ce soit dû à une erreur lors de la prise d'occlusion. On va alors remettre les maquettes d'occlusion pour vérifier que la ligne interincisive est correcte, puis modifier les dents pour retrouver l'alignement.
Verser légèrement les canines vers lingual (ad linguam) pour enlever les interférences entre les canines lors de la latéralité.
En deux portions : le palais mou immobile (partie antérieure) et le palais mou mobile ou musculaire (partie postérieure).
C'est la limite entre le palais mou immobile et le palais musculaire, située à 1/2 mm en arrière des fovea palatinae.
Au niveau du palais mou immobile (jonction vélo-palatine), entre l’extrémité postérieure du palais osseux et la ligne vibratoire.
Le neos.
Elle va interférer et blesser le voile du palais, lors de la phonation ou de la déglutition.
Le postdam (ou renforcement de la digue postérieure) correspond au grattage du modèle secondaire au niveau de la limite postérieure.
La dépressibilité tissulaire est faible au niveau du raphé médian et des zones para-tubérositaires (0,5 - 1 mm).
La dépressibilité tissulaire est importante au centre des deux hémi-maxillaires ou zones de Schröder (1,5 - 2 mm).
Parce qu'on n'a pas encore les dents postérieures, mais il permet de détecter les grosses erreurs de DVO avant le montage postérieur.
L'essai mécanique consiste à vérifier la relation centrée à partir des maquettes d'occlusion.
Il sera plus aisé de corriger l'erreur de montage si une erreur est trouvée.
1. Reproduire l'intégralité du joint périphérique pour assurer la stabilité de la prothèse. 2. Être légèrement convexe et avoir une épaisseur suffisante pour donner l'illusion que les dents sortent de la gencive et soutenir les joues et les lèvres. 3. Reproduire le feston gingival et les papilles interdentaires pour assurer le sertissage des dents.
Pour donner l'illusion que les dents sortent de la gencive, reproduire les reliefs naturels au maxillaire, et contribuer au soutien des joues et des lèvres, améliorant ainsi l'esthétique.
Pour préfigurer les futures dents postérieures et stabiliser les bases lors de l'occlusion.
Les bourrelets supérieurs sont montés par rapport à la table de montage, tandis que les bourrelets inférieurs sont placés contre les supérieurs.
Elle doit être parallèle à la courbe de la lèvre inférieure.
1. Adjonction de bourrelets de cire, 2. Préparation des bases, 3. Essai esthétique, 4. Essai phonétique, 5. Essai mécanique, 6. Meulages équilibrateurs en latéralité.
On localise cette interférence et on meule la canine inférieure.
On peut demander au laboratoire de réaliser une fausse gencive en cire plus lisse afin de réduire l'accumulation de la plaque et la nécessité de nettoyer la prothèse.
Pour ne pas gêner la fonction salivaire.
Parce que le rajout est plus compliqué.
Les meulages équilibrateurs en latéralité permettent de rechercher une occlusion balancée en latéralité sans interférence.
Oui, c'est normal.
Les papilles interdentaires doivent être adaptées à l'âge du patient, car le parodonte tend à se rétracter avec l'âge, laissant des embrasures vides à la place des papilles interdentaires.
Pour permettre de voir l'axe de la dent et assurer une harmonie au niveau des collets.
Elle a une forme de moustache avec une largeur de 4 mm et une profondeur de 1/2 mm.
Immerger les bases dans de l'eau fraîche pour les rigidifier et éviter qu'elles ne se déforment en bouche, et enduire un peu de poudre adhésive pour améliorer la stabilité des bourrelets.
Avec un miroir, en demandant au patient de prononcer le son « Ah ».
Utiliser un crayon à l’aniline, puis reporter sur la base en cire.
Pour la ramollir.
Elle est plus étroite (1 mm) et plus profonde (> 2 mm).