Elle dure de 24 à 48 heures et disparaît progressivement.
L'étude des cadavres.
Il gonfle et propulse les bactéries vers l'extérieur.
Pour dépister une mort suspecte, donner un avis sur le délai post-mortem et renseigner les familles.
Des lividités et de la chair de poule.
Elle diminue jusqu'à 15-20°C.
Parce que ces signes sont irréversibles.
Aux parties postérieures du corps, sauf aux points de pression comme les talons, les fesses et le haut du dos.
L'ecchymose récente est bleutée et l'ancienne est jaunâtre.
La multiplication bactérienne intracorporelle.
Une contraction musculaire non neuronale qui bloque les articulations après la mort.
Elles apparaissent rapidement, parfois en moins de 2 heures.
Le sang circule à l'envers.
Opacification de la cornée et plaques parcheminées.
Les bactéries présentes dans notre tube digestif, notamment les bactéries telluriques et saprophytes.
Le pH devient acide, environ 5,5.
L'apparition d'une tache verte due à la dégradation des pigments biliaires.
Les muscles se contractent de manière post-mortem en raison de la libération de calcium.
Elles ne se fixent pas lorsque le décès est lié à une hémorragie, car la pression dans les capillaires est moins importante.
Une pendaison accidentelle.
La température ambiante, l'habillement du sujet, et la surface sur laquelle il se trouve (carrelage ou lit).
Une température froide retarde l'apparition de la rigidité, tandis qu'une température élevée l'accélère.
Cela indique que la mort remonte à moins de trois heures.
Rigidités cadavériques, lividités, refroidissement, déshydratation, autolyse et putréfaction.
La peau devient jaunâtre et dure.
Elle se produit par la libération de calcium dans les muscles en présence d'ATP, sans commande cérébrale.
Les lividités sont sur la face postérieure et antérieure des jambes, indiquant une position verticale au moment du décès.
La peau devient localement dure et change de couleur, devenant jaune chez le sujet leucoderme et orange chez le sujet mélanoderme.
Il exerce une pression sur les viscères et les gros vaisseaux, provoquant une propulsion gazeuse du sang vers la périphérie.
Elles se fixent généralement entre 18 et 24 heures après le décès.
Que la partie latérale de la tête était un point d'appui.
Ils se contractent ensemble, bloquant l'articulation du coude.
Dilatation bilatérale des pupilles, indiquant une anoxie des noyaux cérébraux.
Elle reste à 37°C.
Les muscles agonistes se contractent pour produire un mouvement, tandis que les antagonistes se détendent.
Un déplacement de cadavre après fixation des lividités.
Elle accélère l'apparition de la rigidité et raccourcit sa durée, avec une putréfaction pouvant survenir avant 48 heures.
Elle atteint les muscles peauciers, donnant au visage une expression.
Pour vérifier la cohérence entre l'examen et les témoignages concernant le dernier signe de vie.
Dans la fosse iliaque gauche, où le côlon est le plus près de la peau.
Une plaque parcheminée due à la tentative de poser une voie fémorale.
Elles sont déclives et rougeâtres.
Un phénomène où le visage est rouge, généralement dû à l'asphyxie, sans lividité, avec présence de pétéchies.
Elles pensent que cela reflète des sentiments lors du décès, mais c'est un mécanisme physiologique.
Les signes accessibles à la réanimation qui peuvent disparaître si la personne est ressuscitée.
La clinique concerne les personnes vivantes, tandis que la thanatologie concerne les cadavres.
Elles sécrètent du gaz en grande quantité et des enzymes protéolytiques puissantes.
On retrouve la marque de la main qui étouffe la personne sous forme de plaque due à l'évaporation locale d'eau.
Le corps entre en équilibre avec la température ambiante, diminuant d'environ 1 degré par heure après une phase de plateau de 2 heures.
Des taches rouges ou sombres qui apparaissent rapidement après le décès, dues à la dilatation des capillaires.
Elles se multiplient et créent du gaz, entraînant un gonflement, surtout dans le colon et l'abdomen.
L'absence de pouls.
Au médecin urgentiste, au réanimateur et à tout médecin face à un patient inconscient.
En mesurant la température du corps, qui diminue d'un degré par heure après la phase de plateau.
Elle retarde l'apparition et prolonge la durée de la rigidité, ralentissant également le processus de putréfaction.
La vascularisation devient centrifuge, les bactéries de l'abdomen se propagent vers les extrémités.
Elle provoque l'apparition d'une tache verte abdominale.
Les lividités apparaissent aux nouvelles parties déclives, comme les jambes et la nuque.
Il donne un signal de dépolarisation qui entraîne la contraction des fibres musculaires.
C'est la première phase de la rigidité cadavérique, durant 4 à 24 heures, où toutes les cellules musculaires ne se rigidifient pas en même temps.
Il résulte d'une compression du cou qui empêche le retour veineux, provoquant une dilatation des capillaires et une extravasation.
Elles ne se manifestent que lorsque le corps est déshydraté.
Au niveau abdominal, notamment dans le côlon.
Elles sont créées par des phénomènes passifs, résultant de l'action combinée de la pesanteur et de la dilatation post-mortem des capillaires.
L'arrêt cardio-circulatoire, l'arrêt respiratoire et la mydriase.
Elles deviennent visibles à cause de la sécrétion de gaz par les bactéries.
La contraction du muscle érecteur des poils, qui n'a pas d'antagoniste.
Un phénomène post-mortem causé par la déshydratation, se manifestant par un trouble blanchâtre des yeux.
C'est la disparition de la rigidité et l'apparition de la putréfaction due à l'action des enzymes putréfactives.
Dans les heures suivant la mort.
Des zones de peau résultant de l'évaporation locale d'eau, créant des micro lésions épidermiques.
C'est une dilatation des pupilles provoquée par la contraction du muscle dilatateur, se produisant quelques heures après le décès.
La personne reste dans la position dans laquelle elle est décédée et devient rigide.
Elle apparaît avec une certaine cinétique, nécessitant le relargage du calcium.
C'est la présence de pupilles de tailles différentes, souvent en mydriase bilat��rale.
Elle dure 2 à 3 heures.
Une contraction post-mortem des fibres musculaires lisses.
L'élasticité musculaire post-mortem, où il y a encore de l'ATP et les membranes sont intactes.