Polyurie (> 3L/j), Oligurie (< 500mL/j), Anurie (< 100mL/j).
La diurèse est le volume d'urine excrété quotidiennement, normalement entre 800 et 1500 mL/j.
Descente d'organe, comme l'utérus (hystérocèle) ou le rectum (rectocèle).
Elle cause une dysurie avec baisse de débit.
L'urologie se rapporte aux maladies de l'appareil urinaire, tandis que la néphrologie concerne le parenchyme rénal et ses maladies.
Douleur lombaire intense, début brutal, insupportable, irradiations, sans position antalgique, et liée à une pollakiurie.
L'index doit être entièrement introduit à l'intérieur de l'anus, en visant vers le haut en regard du pubis.
Le toucher vaginal.
Pollakiurie la nuit, avec plus d'un lever nocturne.
Risque d'infertilité ou de cancer.
Claire, de la même couleur que l'eau que l'on boit.
La palpation est indolore.
Détecter une masse qui pourrait indiquer une tumeur rénale.
Orchi-épididymite avec germes remontant au testicule par le canal déférent.
Obstruction des voies urinaires par un calcul, une masse ou un caillot en cas de saignement.
Remplissage vésical et vidange vésicale.
La taille d'une châtaigne.
Besoin urgent et irrépressible d'uriner avec nécessité d'accès rapide aux toilettes.
C'est une condition où le prépuce ne peut pas être décalotté, pathologique après 5 ans.
Mictions lentes avec faible débit, souvent dues à un obstacle, surtout chez les hommes de plus de 50 ans.
Hernie non génitale (digestive) et névralgies.
Infectieuse.
Le désir sexuel.
Sécheresses vulvaire et vaginale chez les patientes ménopausées, pouvant entraîner des infections.
Entre 400 et 500 mL, généralement 4 à 5 fois par jour.
La partie postérieure de la prostate.
Gêne génito-urinaire et digestive.
Une origine vésicale.
Fièvre, frissons, douleurs irradiantes dans le dos, douleur au méat urétral lors de la miction.
Une douleur et une sensibilité accrue dans la région scrotale.
Initiale (début de miction puis s'éclaircit), d'origine urétro-prostatique.
Masse sus-pubienne convexe vers le haut, tendue et douloureuse, déclenchant l'envie d'uriner.
Des douleurs et des problèmes de fertilité en raison de la chaleur accrue près du testicule.
À l’extrémité du gland, sous forme d'une fente verticale de 5-10 mm.
Assurer le confort en remplaçant la sécrétion rénale lente par un remplissage régulier de la vessie et une évacuation brève sur commande.
Survient lors d'un effort physique, entraînant une fuite en jet due à des troubles sphinctériens.
Par une augmentation du volume due à un épanchement de la vaginale, souvent gênant.
Douleur irradiante dans les fosses lombaires, fièvre, frissons, pyurie.
Urologique : tout le sang passe avec les facteurs de coagulation, possibilité de caillot. Rénale : seuls les globules rouges passent, pas de formation de caillot.
Elle peut majorer des douleurs d'origine rénale et confirmer l'origine rénale d'une douleur.
Elle ne permet pas de rapport satisfaisant et pénétrant.
C'est une mise en tension brutale de l’uretère et des cavités pyélo-calicielles, entraînant une dilatation des voies urinaires supérieures.
Les reins fonctionnent uniquement sous basse pression, sinon cela dilate et abîme le parenchyme rénal.
Émission de gaz par l'urètre, témoignant d'une communication entre les voies urinaires et le tube digestif.
Le prolapsus (utérus ou rectum) ou une masse pelvienne (tumeur de la vessie).
Volume prostatique augmenté, nodule induré, sensibilité en cas d'infection.
Elle concerne l'ensemble de la miction et n'a pas de valeur localisatrice.
Alimentaire (betteraves, mûres), médicamenteuse (rifampicine), ou excrétion de sels biliaires lors d'une cholestase.
Miction en plusieurs temps où le patient doit attendre quelques secondes pour uriner de nouveau.
Symptômes urinaires fréquents et symptômes digestifs comme nausées et vomissements dus à l'intensité de la douleur.
Présence de pus dans les urines, ce qui correspond à la présence de leucocytes et donne un aspect trouble et purulent.
C'est l'absence de descente des testicules en fin de grossesse, nécessitant une chirurgie.
Fuite urinaire précédée d'un besoin urgent et irrépressible, souvent observée lorsque le patient n'a pas accès aux toilettes.
Orienter l'origine du saignement grâce à la chronologie de la miction.
Présence de sang dans les urines, pouvant être macroscopique (visible à l'œil nu) ou microscopique.
Douleurs irradiantes dans le dos et au méat urétral lors de la miction.
La stérilité.
Des veines dilatées du cordon spermatique qui gonflent, souvent en position debout.
La miction normale est volontaire, dure moins de 30 secondes et permet de se vider complètement.
Un mauvais abouchement du méat urétral, souvent observé chez des patients ayant eu une sonde vésicale trop longtemps.
Non contrôle de la miction, entraînant une perte involontaire d'urine par l'urètre en dehors de la phase de miction.
Sensation de ne pas vider la totalité du contenu de la vessie, souvent associée à une pollakiurie.
Retordre dans l'autre sens pour revasculariser le testicule.
Elles traduisent la présence possible de caillots.
Écoulement de sang par l’urètre en dehors de la phase mictionnelle.
Il n'existe pas de norme en sexualité.
L'éjaculat remonte vers la vessie et est évacué avec l'urine, souvent d'origine iatrogène.
Le patient est allongé sur le dos, sur un plan dur, les hanches fléchies (position gynécologique).
Troubles urinaires dysuriques en raison de la compression de l'urètre.
L'arrêt de la douleur peut se produire fréquemment lors de l'élimination d'un calcul ou d'une rupture de fornix.
Elle augmente de volume, variant de 20g à 200g chez différents hommes.
Sensation de brûlure en urinant, douleurs irradiant au méat urétral, absence de fièvre.
Deux corps caverneux symétriques et un corps spongieux entourant l'urètre.
Les patients doivent souvent pousser et attendre que la miction arrive.
Germes présents à l'examen cyto-bactériologique, avec pyurie.
Il peut abîmer les reins, allant jusqu'à nécessiter une greffe.
Elles orientent vers une pathologie d'origine urétrale ou vésico-prostatique, souvent d'origine infectieuse.
Le sphincter lisse permet le réflexe de se retenir, tandis que le sphincter strié contrôle la miction normale.
Le scrotum est souple, un testicule normal est ferme, régulier et sensible sans masse.
Impossibilité d'uriner malgré une envie urgente et irrépressible, souvent pendant des heures.
Émission d'urines plus importante la nuit que le jour, inversant le rythme nycthéméral.
Retirer le testicule pour éviter la nécrose.
Douleur canal inguinal, cordon spermatique, bourses, souvent d'origine infectieuse ou suite à une torsion du cordon spermatique.
Présence de sang dans l’éjaculat, souvent liée à un problème prostatique.
Besoin anormalement fréquent d'uriner (>6 fois par jour) en faible quantité.
Il faut vérifier si le calcul est parti ou s'il y a eu une rupture des voies urinaires.
Si le testicule n'est pas revascularisé dans les 6 heures, il commence à nécroser.
C'est une formation bénigne qui peut être enlevée en cas de gêne.
La vessie est tellement pleine qu'elle déborde en permanence, entraînant des fuites.
Perception d'une masse grâce à la main postérieure lors de la palpation bi-manuelle.