Quand le réflexe est présent, symétrique et pas trop vif.
Un syndrome pyramidal.
Du tronc cérébral
De 0 (pas de mouvement) à 5 (force normale).
L'échelle de Parinaud
Dix parties.
Elles jouent un rôle dans la régulation du mouvement, l'initiation du mouvement et les ajustements posturaux anticipés.
La motricité volontaire et la motricité automatique.
Aller directement aux urgences
Les voies extrapyramidales et les voies cérébelleuses.
La maladie de Parkinson.
En stimulant la face latérale de la plante du pied jusqu'à l'hallux, avec le patient allongé.
Flexion des orteils (normale), aucune réponse (indifférente), signe de Babinski (élévation lente et majestueuse de l'hallux et écartement des orteils).
On inspecte la face au repos pour détecter une asymétrie ou une chute d'une commissure labiale, et on vérifie les rides. Ensuite, on demande au patient de faire des mimiques comme un grand sourire, gonfler les joues, et fermer les yeux exagérément.
Elles jouent un rôle dans la coordination des mouvements.
Ext/flexion pieds et orteils, adducteurs/abducteurs, ischio-jambiers, quadriceps, psoas.
Elle consiste à demander au patient de tendre les bras, écarter les doigts, redresser les poignets et tenir pour voir s'il y a une chute du bras ou de la main.
La coordination segmentaire et la coordination axiale.
Sensibilité lemniscale, sensibilité protopathique, sensibilité thermo-algique.
Elle permet d'émettre des hypothèses diagnostiques, voire faire un diagnostic ou orienter l'examen neurologique.
10 parties.
12
Réflexes abolis ou diminués.
Syndrome pyramidal.
L'acuité visuelle et le champ visuel
Avec l'examen de la station debout, l'examen de la marche, et la manœuvre du funambule.
Une étude oreille par oreille de la conduction aérienne et osseuse avec le diapason.
Pour réaliser une audiométrie, le Gold Standard pour les problèmes affectant le contingent cochléaire.
La capacité à effectuer des mouvements précis et coordonnés.
Moteur et sensitif.
Réflexes vifs, polycinétiques, diffusés, avec une augmentation de la zone réflexogène.
On teste muscle par muscle avec un score sur 5 : pince pouce-index (abducteurs), interosseux, préhension (fléchisseurs), poignet (ext/flex), biceps, triceps, abduction, élévation épaule.
En mobilisant des segments de membres sur un sujet relâché et en appréciant le ballant des bras ou des membres inférieurs.
L'hypotonie est une diminution du tonus musculaire et elle est associée au système cérébelleux.
La voie lemniscale (sensibilité épicritique, proprioceptive et vibratoire) et la voie spino-thalamique (sensibilité protopathique, thermoalgique).
Avec des tubes remplis d'eau chaude ou glacée.
La stabilité, la posture et la fluidité des mouvements lors de la marche.
La sensibilité du visage, des dents et des gencives.
Avec la manœuvre de Romberg (pieds joints, yeux ouverts puis fermés) et en testant les réflexes posturaux.
Vestibulaire (équilibre) et cochléaire (audition).
Anosmie, hyposmie, altération du goût
La force musculaire et les mouvements volontaires.
Parce qu'une absence de réflexe peut indiquer une atteinte au niveau d'une racine.
Initiation/marche/demi-tour, longueur/largeur du pas, vitesse de marche, amplitude des différentes articulations, déroulement du pas, ballant des bras, polygone de sustentation.
La zone de Ramsay-Hunt.
En fonction de la plainte du patient, de la situation, et du temps disponible.
Un nystagmus à l'examen oculomoteur, où la secousse lente indique la lésion et la secousse rapide son sens.
Elle consiste à allonger, lever les jambes en équerre et tenir un certain moment pour voir si une chute apparaît au niveau des membres inférieurs.
Hypertonie : Clonus de cheville, dorsi-flexion cheville, hypertonie élastique du système pyramidal, hypertonie plastique du système extrapyramidal.
Parce qu'elle dépend beaucoup de la coopération et de la volonté du patient.
En passant la main sur la peau du patient.
En étudiant l'élévation des épaules et la contraction du sterno-cléido-mastoïdien.
Tous les autres muscles oculomoteurs sauf le muscle droit latéral et le muscle oblique supérieur.
Sur l'anatomie.
Le nerf olfactif (I)
Syndrome neurogène périphérique.
L'échelle de Monoyer
L'examen périmétrique de Goldmann
Au niveau de la moelle épinière.
En observant la résistance passive des muscles au mouvement.
Le muscle droit latéral.
Si suspicion de syndrome cérébelleux, si le patient fait de temps en temps un pas sur le côté ou s'il dit qu'il marche comme s'il avait bu.
La marche et l'équilibre, la motricité, le tonus, la sensibilité, les réflexes, la coordination, les nerfs crâniens, les troubles végétatifs, les fonctions supérieures, et les mouvements involontaires.
Pour pouvoir comparer d'un jour sur l'autre et affiner avec d'autres manœuvres ou tests.
Évaluer le fonctionnement normal du système nerveux.
La motricité, le tonus, la sensibilité, les réflexes ostéotendineux, la coordination, les nerfs crâniens, la marche et l'équilibre.
Les nerfs mixtes IX, X et XI.
Réflexe bicipital (racine C5), réflexe tricipital (racine C7), réflexe stylo-radial (racine C6), réflexe cubito-pronateur (racine C8).
Le muscle oblique supérieur.
Si suspicion d'un déficit distal, notamment si la pointe du pied frotte à la marche.
On examine le patient debout, bras tendus et index pointés en regard des pouces de l'examinateur pour détecter une déviation. On peut aussi demander une marche aveugle (manœuvre de Fukuda).
Le neurone moteur central et le neurone moteur périphérique.
Otites ou bouchons de cérumen affectant l'oreille externe et moyenne.
La capacité à ressentir des stimuli tactiles, douloureux et thermiques.
Parce que c'est leur marche naturelle.
En stimulant différents territoires du V (nerf ophtalmique V1, nerf maxillaire V2, nerf mandibulaire V3) avec une compresse et en testant la sensibilité thermoalgique.
La stabilité du patient avec les pieds joints, yeux ouverts puis fermés, en observant s'il y a une chute ou une danse des tendons.
Avec un doigt ou un coton promené sur la peau.
Avec un diapason placé sur les reliefs osseux.
La phonation, la déglutition, le voile du palais, le réflexe nauséeux et la sensibilité du tiers postérieur de la langue.
Le nerf oculomoteur principal (III), le nerf trochléaire (IV) et le nerf abducens (VI).
En demandant au patient de contracter le muscle masséter en serrant les dents.
En bousculant le patient et en observant s'il arrive à se rattraper.
Avec les manœuvres doigt-nez, talon-genou, passage de la position allongée à assise/accroupie, et les mouvements alternatifs rapides.
Au niveau du tronc cérébral.
Le nerf olfactif, le nerf optique, les nerfs oculomoteurs, le nerf trijumeau, le nerf facial, le nerf vestibulo-cochléaire, les nerfs mixtes, le nerf hypoglosse.
Avec deux doigts, pas comme un marteau à clou.
Réflexe rotulien (racine L4), réflexe achilléen (racine S1).
Parce qu'il peut y avoir une dissociation entre marche et équilibre, la marche peut être bonne mais l'équilibre non.
Le sens de position des orteils avec les yeux fermés.
Avec une aiguille.
En demandant au patient de tirer la langue et en observant sa symétrie et sa mobilité.
Le système moteur, le système sensitif et la coordination motrice.
Si suspicion de syndrome vestibulaire, cérébelleux ou d’ataxie proprioceptive.
Une atteinte de l'oreille interne, pouvant être due à une tumeur bénigne.
Les réflexes ostéotendineux.
La marche automatique se fait sans penser aux jambes, tandis que la marche volontaire implique de changer de direction ou de franchir un obstacle.
Supérieure à 10 secondes.
L'oculomotricité extrinsèque volontaire (saccades), automatique (poursuite) et réflexe (phénomène des yeux de poupées).
La marche les yeux fermés, la marche en tandem, la marche talon et pointe.